L'équipe nationale de football joue dans un tourbillon d'échecs. Ces moments de chutes libres amènent les amoureux du sport à réfléchir sur le devenir des lions. Les émissions se multiplient et parlent soit de l'attitude de nos acteurs de football, soit des performances des coaches.

Tout le sport dans un dossier consacré aux lions ouvre des fenêtres de réflexion et fait revivre le proche passé glorieux de l'équipe nationale, court soit-il.

Les chiffres parlent de six entraîneurs au baromètre en moins de dix, nos confrères estiment que c'est  « la valse des ''coaches à jeter'' ». Les performances de Bruno Metsu sur le banc des lions, entre 2001 et 2002 restent jusqu'ici inégalées, lit-on dans les colonnes du journal. Car depuis son remplacement en 2003, le Sénégal va d'échecs en échecs au point où, en moins de dix ans, six entraîneurs se sont enchaînés sans concrétiser.

Ce sont des souvenirs fades qui font surface aujourd'hui quand on pense aux prestations des lions. En parcourant les colonnes du journal, nos confrères laissent lire qu'en espace de dix ans, l'époque Metsu reste le meilleur rêve du Sénégal et son temps d'ascension. Car avec lui, les lions ont joué la phase finale de la CAN et le quart de finale du mondiale. Ce sont là des moments, de satisfaction de notre équipe sous Metsu. Ce qui n'était pas arrivé avant 2000 lit-on dans les colonnes de nos confrères.

Idelette BISSUU

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