La LD exige que tous les coupables soient jugés
Conformément aux lois en vigueur, la Lige démocratique (LD) exige que tous les coupables de crimes soient jugés. En outre, les camarades de Mamadou Ndoye ‘’Mendoza’’ appellent l’Etat à prendre des initiatives préventives et des actions efficaces pour assurer la sécurité des personnes et des biens.
Réuni en séance ordinaire avant-hier, le Secrétariat permanent de la Ligue démocratique s’est vivement préoccupé de la récurrence des cas de meurtres à Dakar et dans certaines régions du pays. Dans une déclaration parvenue hier à EnQuête, le Secrétaire général dudit parti, Mamadou Ndoye ‘’Mendoza’’ et ses camarades condamnent fermement ces actes ‘’ignobles’’ et expriment la solidarité des militantes et des militants de la LD à toutes les familles victimes de cette barbarie. Au regard de la nature barbare de ces actes de violence, ils exigent que tous les coupables soient jugés conformément aux lois en vigueur dans le pays. Prenant la pleine mesure de la récurrence des meurtres et de l’insécurité de plus en plus inquiétante dans le pays, ils appellent le gouvernement à prendre des initiatives préventives et des actions efficaces pour assurer la sécurité des personnes et des biens de tous nos compatriotes.
Le Secrétariat permanent de la Ld s’est penché par ailleurs sur la vie du parti. A ce propos, il a entendu un rapport consacré à la tournée politique que le Secrétaire général du parti, Mamadou Ndoye a effectuée du 10 au 17 novembre 2016 dans les régions de Sédhiou et de Kolda. Selon les ‘’Jallarbistes’’, dans chacune des communes visitées, le Secrétaire général et sa délégation ont échangé, en profondeur, avec les militants et sympathisants, dans certains cas en présence de citoyens dont des chefs de village, des notabilités religieuses et coutumières, sur les préoccupations des populations et les solutions préconisées pour les résoudre. Des échanges, il ressort, entre autres, des revendications telles que la construction de routes et de pistes de production, la construction d’écoles et d’infrastructures de santé, la problématique de l’état-civil, l’accès des femmes aux crédits de financement d’activités génératrices de revenus et l’allègement des charges domestiques pour les femmes etc.
En outre, Mamadou Ndoye et ses camarades relèvent que l’arrêt précoce et brutal de la pluviométrie a presque fini d’hypothéquer gravement les rendements agricoles dans presque la totalité des localités visitées. C’est pourquoi, ils pensent qu’il est urgent pour le gouvernement de prendre les mesures appropriées pour parer aux éventuelles difficultés d’alimentation pour les populations et pour le bétail.
ASSANE MBAYE