Valerie Trierweiler revient sur l'affaire du Tweet
Le 12 juin dernier, entre les deux tours de l’élection législative, Valérie Trierweiler créait la polémique avec un tweet malheureux et maladroit de soutien au concurrent de Ségolène Royal, pourtant candidate officielle de la majorité présidentielle. Un mois plus tard, la première dame s’exprime enfin sur le sujet, de manière détournée et humoristique.
Rarement 140 signes auront autant fait couler d’encre. Toute la classe politique était en émoi et le Président avait du mal à cacher son embarras. Pourtant, l a situation semblait s’apaiser sous l’impulsion des deux principales concernées, Ségolène Royal et Valérie Trierweiler. Malheureusement, Thomas Hollande remettait de l’huile sur le feu il y a quelques jours dans une interview accordé au Point: «Je savais que quelque chose pouvait venir d'elle un jour, mais pas un si gros coup. C'est hallucinant. Ça m'a fait de la peine pour mon père, il déteste tellement que l'on parle de sa vie privée. Ça a détruit l'image normale qu'il avait construite.»
Interrogée à plusieurs reprises sur le sujet, Ségolène Royal a toujours déclaré vouloir oublier: «Vous me permettrez de ne pas revenir sur cette affaire, avait-elle répondu à Jean-Michel Aphatie sur RTL, Que les commentateurs commentent cette affaire, moi je ne veux pas la commenter elle a déjà été assez pénible à vivre».
Finalement, seul le couple présidentiel ne s’était pas encore exprimé. C’est chose faite depuis hier, où François Hollande a expliqué lors de son intervention télévisée du 14 juillet que «les affaires privées se régleraient en privé». De son côté, Valérie Trierweiler était à Brest lorsqu’elle a lâché, avec humour et décontraction, devant les caméras de BFM TV: «Je tournerai sept fois mon pouce maintenant avant de tweeter». Ni plus, ni moins. Mais il se pourrait, selon les informations d’Europe 1, qu’elle revienne plus en détails sur l’affaire lors d’un grand entretien accordé après les vacances.
Gala