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GUEST ÉDITO : Penser hors du script colonial : Promesse de redressement et souveraineté économique

Ultimement, la souveraineté financière, et donc la souveraineté politique, d’un État requiert a minima une banque centrale assurant son indépendance financière, notamment via le maintien de taux d’intérêt soutenables sur la dette souveraine en monnaie nationale, le développement d’un secteur bancaire et financier national et orienté vers la transformation économique et industrielle.

MOUSTAPHA DIAKHATE : Un franc-tireur sans concession

Figure iconoclaste du paysage politique sénégalais, Moustapha Diakhaté ne laisse personne indifférent. Ancien bras droit de Macky Sall, devenu pourfendeur du régime Sonko-Diomaye, il incarne une opposition sans concession, volontaire et provocatrice, souvent isolée, mais toujours audible. Belliqueux avec ses adversaires comme avec ses anciens alliés, cet homme de rupture s’est fait une spécialité : celle de dire tout haut ce que beaucoup murmurent tout bas. Quitte à franchir, parfois, la ligne rouge.

OMAR BRAMS MBAYE (RÉALISATEUR DU FILM DESTIN D’UN MIGRANT ‘’Quand j’ai vu les corps en état de décomposition…’’

´´Destin d’un migrant’´ est l’une des œuvres représentant le Sénégal à la 5e  édition du festival Image du Fleuve de Boghé, en Mauritanie. À cette occasion, le réalisateur est revenu, entre autres, sur les coulisses de la création de ce documentaire qui retrace le parcours des migrants, tout en abordant les politiques actuelles à l'échelle internationale. Ce film est  particulier, car réalisé par un cinéaste au regard intérieur et authentique: le Sénégalais Omar Brams Mbaye.

Chroniqueurs ou paroliers ? Quand l'espace public s'effondre sous le poids du bavardage

À l'instar de cette phrase lapidaire de Fabrice Arfi, chef du bureau d’enquête à Mediapart, dans l’émission de télé: « Si on a peu de faits et beaucoup de commentaires, on sort du champ du commentaire, on est dans le bavardage », le Sénégal semble aujourd’hui en pleine dérive de son espace public.

Pourquoi faut-il censurer le Conseil constitutionnel ?

Le dire ainsi ne serait pas excessif : le Conseil est en train de faire sa mue ; il doit être surveillé ! En fréquentant assidûment les décisions du Conseil constitutionnel avant, pendant et après mars 2024, plusieurs expressions apportent leurs témoignages dans nos écrits : de « nouveaux habits », un « nouveau visage », un « entre-deux jurisprudentiel ». D’autres qualificatifs empruntés se montrent plus incisifs, notamment l’« activisme »




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DEUX OU TROIS CHOSES… : Du temps de Ousseynou Seck…

Dans les années 1960, il y avait un célèbre animateur ou journaliste. Il officiait à Radio Sénégal le matin pour les informations, mais il était plus qu’un journaliste. Son nom : Ousseynou Seck.


22:38 - Pourquoi faut-il censurer le Conseil constitutionnel ?
21:12 - OUSMANE SONKO EN TURQUIE : Une visite stratégique pour renforcer les relations sénégalo-turques
20:29 - REAL : décision actée pour Gonzalo Garcia
19:22 - DIFFUSION ET EXPLOITATION DES FILMS AFRICAINS : Mobiciné, un modèle de réussite en Afrique
17:16 - RENÉGOCIATIONS DES CONTRATS ET RÉVISIONS DES CODES DANS LE SECTEUR EXTRACTIF : Ousmane Sonko dévoile les premiers constats du comité
16:17 - JOJ DAKAR-2026 Le COJOJ et l'AIBD vont signer une convention
16:06 - POSTE DE SANTÉ DE DAHARATOU (KIDIRA) : Là où un tricycle défectueux sert d'ambulance
15:13 - Crève, la culture !
14:21 - FESTIVAL IMAGE DU FLEUVE (FIF) DE BOGHÉ : « Destin d’un migrant » d’Omar Brams Mbaye remporte le Grand Prix
13:48 - LE ‘’TOUR DE MBOSSÉ’’ À KAOLACK : Un rite au grand mystère

Guerre Israël-Iran

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