« Je participerai d'une manière ou d'une autre au scrutin du 25 février »
« Une atteinte flagrante à la démocratie. » C'est en ces termes que le candidat du PDS Karim Wade a qualifié la décision du Conseil constitutionnel. « Cette décision est fondée sur des prétextes fallacieux. Elle viole mon droit fondamental de participer à l'élection présidentielle du 25 février 2024, alors que j’ai depuis longtemps renoncé à ma nationalité française », s'insurge le fils de l'ancien Président.
Cette fois, Karim ne compte pas se laisser faire. Il compte se battre non seulement devant les juridictions communautaires, mais aussi dans les urnes. « Dans tous les cas, je participerai d’une manière ou d’une autre au scrutin du 25 février. Je demande à nos militants, nos sympathisants, nos alliés et aux millions de Sénégalais qui me soutiennent de rester mobilisés pour engager à mes côtés le combat contre l’injustice et pour la restauration de l’Etat de droit. »