Tariq, Sonko ou la perfide et perverse alliance entre le méchant loup du grand jura et l’hyène de la savane Sénégalaise (Suite mais pas fin….)
Ceux de notre génération se souviennent encore des veillées nocturnes d’hier au cours desquelles grand-mère nous tenait en haleine en nous racontant des contes dont certains nous faisaient frissonner d’effroi, du « temps où les hommes vivaient et parlaient aux animaux, échangeaient avec les bons et mauvais esprits. Nos majestueux instituteurs de l’époque prenaient le relais le lendemain ,en nous gratifiant de ces récits au contenu moralisateur , repris par nos conteurs, auteurs et poètes comme nos regrettés Birago Diop , « Coumba Am Ndeye ( Coumba avec sa mère vivante) et Coumba Amoul Ndeye ( Coumba l’orpheline), le poète et Président Léopold Sédar Senghor, Abdoulaye Sadji coauteurs de notre livre de chevet « Les histoires de Leuk le lièvre, à Ndoumbélane ( La Jungle)».
Ils nous faisaient aussi connaître d’autres comme Charles Perrault,) l’auteur des Contes de ma mère l’Oye : « Cendrillon l’orpheline ; le Petit Chaperon Rouge ». Dans ces récits se côtoyaient des personnes, des animaux ayant les mêmes portraits physiologiques que leurs sosies d’Afrique, de jolies filles comme le petit chaperon rouge et l’orpheline Cendrillon, « Isengrin » le Méchant Loup des Vosges, du Jura, incarnation du mauvais esprit, le Malin, la bête cruelle, «Goupil» le rusé Renard qui correspondent bien chez nous à «Bouki» l’hyène, l’animal perfide et le malin «Leuk» le lièvre.
Ces créatures, comme des lycanthropes se sont aujourd’hui réincarnées à travers certains d’entre nous à voir leurs comportements. Le loup des contrées du Nord, plus exactement de la Suisse, dans le Jura et l’autre, l’hyène de la savane africaine, du Sénégal présentent, comble de similitude les mêmes traits physiques, actes, réactions, vices et stratégies dictés par leur raison, plutôt par leur instinct primaire grégaire de prédateurs dirigé tous les deux vers la chair tendre, fraîche féminine juvénile et adulte. Jugez-en. L’un, le prêcheur Tariq Ramadan, à travers un tweet, délivrait il y’a quelques jours un sermon apocalyptique : « Le Sénégal a sombré dans le chaos depuis la condamnation d’Ousmane Sonko pour corruption de la jeunesse dans le dossier face à Adji sarr et par la faute d’un Président, à son désir à se débarrasser de ses adversaires politiques et d’un pouvoir qui refusent de jouer le jeu de la démocratie et de la transparence. Il faut demander au peuple de ne pas tomber dans le piège tendu de la violence. Il faut aussi conseiller aux militaires de refuser d’obéir aux ordres d’un Pouvoir, leur imposant de se tourner contre leurs sœurs et leurs frères sénégalais. Au peuple, il faut le courage de résister, et aux militaires le courage de désobéir. Courage le Sénégal … Vous êtes dans nos cœurs et dans nos prières. Ce samedi encore, 72 heures après la condamnation de Sonko les heurts se poursuivent ».
L’auteur de cette fatwa, hier adulé pour ses prêches, surtout par les femmes est devenu tristement célèbres pour ses faits de grand prédateur sexuel insatiable comme son protégé local. Aucun qualificatif ne saurait être à la dimension de cette funeste personne à qui on aurait donné le Bon Dieu sans confession. À les observer de près ,le Méchant Grand Loup Blanc du Jura serait bien le clone achevé de notre Hyène nationale. Leurs proies sont pour le premier le Chaperon rouge, et pour l’autre, l’hyène noire à la peau tachetée, parsemée de « rew », (vergetures) Cendrillon Sarr. Selon les descriptions faites par sa victime, sa suppliciée adja sarr. N’empêche que notre hyène locale ne semble guère détester du tout le rouge, « danger de mort » couleur du sang dont raffolent ces deux carnassiers. La malheureuse orpheline, échappée de justesse des griffes et sauvages étreintes du maniaque ne l’avait-elle pas bien confessé à la gendarmerie ? C’est la raison pour laquelle, la pauvre, devenue son objet sexuel avait fini de porter des tuniques rouges comme le rustre l’exigeait, à titre de fantasme fétichiste envers sa seconde épouse délaissée pour cause de timidité et d’excès de pudeur à l’endroit de son « sage ibadou, Oussou Mou Selle mi ».
Il se trouve que Tariq le tuteur et parrain en fornication, lui-même fait encore l’objet d’une dizaine de plaintes pour viols, violences sexuelles et autres salacités. La première plaignante affirmait sur Europe 1 que le prédicateur lui avait fait du chantage pour la contraindre à des relations sexuelles violentes pendant un an et demi. "Il ne prenait du plaisir que dans mon humiliation et la violence," avait-elle déclaré en sanglots aux juges. Le maniaque fut mis en examen pour viols et maintenu en détention pendant des mois. Il fut encore visé par une nouvelle plainte pour viols. La victime relatait des mois d’emprise psychologique, qui l’auraient contrainte à entretenir des relations sexuelles violentes avec l’islamologue. Elle l’accusait de viols, de violences, de menaces et de chantage). La plaignante, Marie, mère de famille d’une quarantaine d’années, affirmait avoir subi une dizaine de viols de Tariq. Elle avait décrit avec lui un rapport de domination extrêmement violent, ponctué de multiples humiliations. "J’étais à sa merci", expliquait la jeune femme. Les autres viols se déroulaient chez la plaignante ou à l’hôtel. "Je devais rester disponible H24 (comme Sweat Beauté) pour lui, être sa ‘soumise’, sa ‘chienne’, sa ‘pute’", racontait Marie à Europe 1. Elle avait aussi porté plainte pour chantage. En effet, après leur premier rapport sexuel, l’islamologue s’en était servi contre elle : "Ta famille, tes enfants n’auront rien à perdre au milieu du scandale de ce qui sera montré contre toi", écrit-il notamment dans un SMS que lui avait attribué la plaignante et consulté par Europe 1. Il lui balança cette phrase, la même que notre hyène nationale avait adressée à notre petit chaperon noir, tout haletant : « Vas où tu veux ! Personne ne te croira ! "Tariq Ramadan menaça aussi la pauvre dame de rendre publiques les photos nues qu’elle lui avait envoyées. "Étant sous son emprise, et comme il menaçait ma famille et moi-même, qu’il m’insultait et qu’il me rabaissait, j’exécutais ses ordres", expliquait Marie, comme la pauvre Adja Sarr. Comment cette relation avait-t-elle pris fin ? Selon Marie, le dernier viol présumé eut lieu en juin 2014. "J’ai tout accepté, menacée, contrainte, effrayée, jusqu’au soir où j’ai failli y rester", résumait-t-elle.
Ce jour-là, à l’hôtel, ils avaient convenu de réaliser un des fantasmes de l’islamologue pervers, qui était de réaliser "un plan à trois". Mais la deuxième femme changea d’avis en voyant Tariq Ramadan, puis quitta terrifiée la chambre. L’obsédé chauffé à blanc accusa Marie de manipulatrice et la viola à plusieurs reprises, l’étranglant même avec une ceinture en cuir. "Je n’arrivais plus à respirer, et plus je me débattais, enfin, plutôt j’essayais de me débattre et plus il serrait, le regard monstrueux en ricanant." Traumatisée, la plaignante avait pris progressivement ses distances. L'islamologue suisse, visé par six autre plaintes, avait commencé à esquisser sa ligne de défense sur le plateau de BFMTV et dans un livre. Il évoquait des relations consenties. Comme son fils adoptif du Sénégal, il se dit victime "d'un traquenard." Il dénonçait le "racisme antimusulman" en France et se comparait au capitaine Dreyfus. « Il traitait le public de pauvre imbécile ». Une autre femme, accusait Tariq Ramadan « le Baye diké de Oussou » d'actes similaires remontant à 2009. Il s’agit d’une femme qui souffrait, à la suite d'un accident, d'un handicap aux jambes ; elle se déplaçait à l'époque assistée par le port d'une attelle à la jambe droite et soutenue par des béquilles. Elle évoquait « des scènes de violence sexuelle d'une grande brutalité » et affirmait avoir reçu des coups à plusieurs reprises, avoir été victime de fellation et sodomie, tout en manifestant son opposition : « j'ai hurlé de douleur en criant « stop ».
Lorsque policier, le contraire de notre capitaine Touré chargé de l’enquête déclarait que lorsqu’il avait demandé à Tariq comment il expliquait qu’Aline puisse mentionner, dans sa plainte, qu'il portait une cicatrice à l'aine, (la vergeture, « rew » qu’avait décrite rappelez-vous bien Adji sur le postérieur tacheté de notre hyène) un témoin de la scène décrit Ramadan alors « cloué sur place » par la question, à laquelle il ne put répondre. « Tarik ou le crépuscule d’une idole. » Tel pourrait être le titre d’un roman pour Elwin, Bogar, Boris et pourquoi pas d’un film pour Moussa Absa, chasseurs, plutôt prostitués de prix Goncourt, de distinctions d’Oscars ou d’Étalon aux dépens de l’honneur, et de la dignité de notre Sénégal jeté en pâture. Tariq était aussi un Doué pour la dissimulation et la manipulation. « J’ai travaillé sur les prédicateurs américains extrêmement roublards, mais je n'ai jamais rencontré quelqu'un d'aussi doué pour la dissimulation et la manipulation que Tariq Ramadan », affirmait Caroline, une spécialiste en psychopathie.
La première réaction de Tariq Ramadan, suite aux révélations récentes d'accusations d'agressions sexuelles avait été de dire, sur son compte Facebook, qu'il s'agissait d'une « campagne de calomnie » enclenchée par « ses ennemis de toujours ». « C'est une vraie cabale (complot chez l’autre) ! Ils veulent détruire l’image de l'arabo-musulman intellectuel pour le ramener au bas de la ceinture ! » Mais de toutes ses Justifications, on ne croit pas un traître mot commente l'un de ses ex compagnons « C'est quelqu'un de profondément intégriste et misogyne, et en même temps incroyablement hypocrite, parce qu’il donne dans ses prêches des leçons sur la conception islamique de la sexualité et où il invite à une chasteté maladive », alors que des femmes déclarent avoir subi des agressions sexuelles de lui. » L’homme avait perdu en influence et se trouve aujourd'hui, plus que jamais, cloué au pilori. Visé en France par d’autres plaintes pour viol, l'islamologue suisse de 55 ans voit aujourd'hui son image de modèle de vertu fracassée. Tariq était accusé de faire l'apologie d'un islam radical. Il aurait tenu des conférences où l'on soutenait le FIS (Front islamique du salut) et même le GIA. Il dénonçait, dans toutes ses cassettes, les modernistes comme étant de mauvais musulmans ».
Cette ligne de défense ne nous rappelle-t-elle pas celle de l’autre ? Dès l’annonce de la plainte contre lui, notre Tariq national, paniqué, s’était précipité d’écrire sur sa page : « Je ne connais ni Sweat Beauté, ni cette fille», conforté par son zombie, un avocat mécréant qui confirma, la main sur le Coran, en direct à la télé les mensonges de son maître qui les effaça aussitôt. De ce qui précède, que dire d’autre sinon que, selon l’adage à propos de ces deux détraqués pathologiques : « Ceux qui se ressemblent peuvent bien s’assembler non, surtout si les deux copains sont de parfaits coquins et « katiapans ou chenapans »? Que l’Axe du Mal, pardon du Vice entre les deux faux dévots, mais Grands Prédateurs Sexuels du Nord et du Sud bien tracé est instrumenté par un troisième larron sexuel en sursis, maître « Branleur », pardon Branco. Nous y reviendrons pour notre prochain épisode. Enfin il reste juste pour ce trio de grands bandits à chanter ce refrain : « Olé Olé, Olé, Obsédés Sexuels du Monde Entier, Unissons-nous Pour Que Vive la Première Internationale des Violeurs, Prédateurs, Pédophiles et Corrupteurs de la Jeunesse !
Maître Djibril War, Coordonnateur du Mouvement Pour la Sauvegarde et la Défense de la République.