Publié le 18 Dec 2013 - 02:38
LIBRE PAROLE

A propos de Harouna Dia...

 

Suite à la parution dans les colonnes de votre journal de l’article intitulé «Comment Harouna Dia perd du terrain» à la page 3 du numéro 752 du samedi 14 et dimanche 15 décembre 2013, je me permets de vous adresser les quelques réflexions ci-dessous.

Grande a été notre surprise de lire dans vos colonnes que «Harouna Dia (est) en perte de vitesse». En effet, Harouna Dia, comme il lui plaît de le rappeler très souvent, a l'habitude de dire : «je suis là pour accompagner durablement les efforts de redressement du pays, entamé par le Président de la République, Son excellence Macky Sall.» Nous ne reviendrons pas sur les actes de l’homme consentis depuis des temps dans la zone (département de Kanel) mais aussi dans le cadre du parti Alliance pour la république comme vous l’avez si brillamment noté dans votre papier.

Ce serait très mal connaître M. Dia, que de dire qu’il est intéressé par un quelconque partage du gâteau, si bien entendu gâteau il y a à partager. Ce n’est pas en étant (ou pas) ministre de l’Agriculture ou de l’Hydraulique qu’un citoyen sénégalais, de surcroît ingénieur de son état, participerait ou non à l’émergence de son pays. Tout est dans la volonté de chacun d’entre nous, questeur ou pas, d’accompagner le gouvernement dans cette noble mission.

Notre objectif, vous le comprendrez aisément, est non pas de vous répondre mais plutôt d'orienter le débat dans un sens que nous pensons être le plus adapté au regard de la posture de Monsieur Harouna Dia. Les relations entre lui et les différents responsables du parti (APR) sont toujours au beau fixe, mais sa volonté de se consacrer exclusivement au développement l’éloigne naturellement de la politique politicienne. Et vous vous accorderez avec nous que là, mérite véritablement une accélération de vitesse de sa part.                                                                     

Houdou Boubou Dia

Coordonnateur de CJRK et Chargé de la formation du MEER/Région de Matam.

 

Section: 
DEGUERPISSEMENT DES ABORDS DU STADE LÉOPOLD SÉDAR SENGHOR : UNE PREMIERE VICTOIRE DU MINISTRE KHADY DIÈNE GAYE DANS LA GUERRE CONTRE L’ANARCHIE AUTOUR DE NOS STADES
DR EL HADJI MAMADOU NDIAYE : LE COMBAT D’UN ACTEUR CLE DE LA RIPOSTE CONTRE LES PANDEMIES AU SENEGAL
Sonko restaure l’autorité de l’État
CHRONIQUE DE L’IMPROVISTE : Qui trop embraSe, mal éTeint
 Plaidoyer pour des télécommunications respectueuses de l’environnement en Afrique de l’ouest.
Quand la petitesse s’érige en doctrine chez PASTEF
La Psychologie au Sénégal : Perspective des acteurs sur le terrain
DES COOPÉRATIVES COMMUNALES AUX COOPÉRATIVES COMMUNAUTAIRES ET PRODUCTIVES : LE TÂTONNEMENT ET LES ERREMENTS CONTINUENT 
ACROSTICHE POUR MAMADOU BADIO CAMARA
Hommage à Y en a marre : Sentinelles d’une démocratie exigeante
LES ANNALES DE LA TRANSFORMATION PAR L’ÉDUCATION ET FORMATION PROFESSIONNELLE ET TECHNIQUE : Évaluez pour aider, pas pour stresser : le changement de paradigme
Souveraineté vestimentaire africaine : Nécessité de promouvoir la friperie, les masques et les serviettes hygiéniques locaux
Santé au Sénégal : Un système à bout de souffle, des solutions à concrétiser
Mon analyse sur Trump et ses tarifs douaniers
Le Sénégal à la croisée des chemins : Sortir du piège budgétaire et bâtir une souveraineté économique durable
Lettre ouverte aux ministres chargés des Transports, de l’Intérieur et de la Sécurité publique
De la responsabilité de la Cour des comptes ?
Vers l’autosuffisance, la fin des importations de pommes de terre et d’oignons : Une décision stratégique à accompagner
L’éducation sexuelle des adolescents
Sénégal : Une agriculture à bout de souffle face aux défis climatiques et structurels