Jeu de jambes osé pour la première dame de France
Si la journaliste a exprimé son désir de réinventer le rôle de première dame, elle a aussi affirmé qu'elle ne serait pas "une potiche". Hier, elle a en tout cas démontré qu'elle saurait se montrer féminine. Si certains y ont vu un "manque d'élégance" indigne de la fonction (les mauvaises langues l'accusent d'"apprécier les atmosphères sexuellement chargées"), d'autres y voient un vent de modernité.
Il faut dire que Valérie Trierweiler est la première dame à se présenter au palais de l'Elysée en tant que célibataire et qui travaille, qui plus est! Si les dessous de leur relation restent secrets, les révélations sur le couple présidentiel commencent à être dévoilées.
Si on ne sait pas exactement quand leur histoire a débuté - même si le couple avance l'année 2005 - il semblerait que des rumeurs courraient déjà en 1992, selon le "DailyMail". A l'époque, la journaliste avait réalisé une interview de Ségolène Royal dans son lit de maternité, juste après la naissance de Flora, dernière-née du couple formé avec Hollande. C'est François lui-même qui aurait "offert" ce scoop à sa jeune amie journaliste. Ségolène Royal, alors ministre de l'Environnement, n'aurait guère apprécié être mise au mur de la sorte, surtout pour une "amie" de son mari sur laquelle elle avait déjà de nombreux soupçons.
Quand Valérie parle du début de sa relation, elle explique "être arrivée dans la vie de François quand il avait besoin de changement", relate le "DailyMail". Un "changement" auquel Ségolène n'était pas préparée et qui lui aurait brisé le coeur alors qu'elle menait sa campagne présidentielle contre Sarkozy en 2007. Le couple a d'ailleurs annoncé sa séparation juste après l'élection.
Un divorce qui n'a pas plu aux enfants Hollande-Royal, qui ont apparemment encore du mal à parler ouvertement de celle qui a "volé" leur père. L'aîné, Thomas, 28 ans, ne mentionne jamais le nom de Valérie lors des interviews qu'il donne. Ségolène, elle, a malgré tout du se plier au jeu lors de cette campagne électorale et a accepté de serrer la main de sa rivale devant les caméras lors d'un rassemblement à Rennes.
Reste à savoir si les deux ennemies parviendront à travailler dans les mêmes bureaux. François Hollande a promis un gouvernement à 50% féminin et pourra difficilement refuser un poste à son ex-femme.
(7sur7)