Activités au ralenti après l'incendie du samedi 23 février

Trois jours après l'incendie qui a réduit en cendres une bonne partie de l'outil de travail des policiers du commissariat central de Dakar, les activités y tournent au ralenti.
Des ordinateurs se sont consumés avec toute leur mémoire. Ce qui va nécessiter un travail de reconstitution pour certains dossiers alors que pour d'autres, ce sera bien difficile. Voire impossible. Et comme un malheur n'arrive jamais seul, une partie de la bâtisse est aujourd'hui menacée d'effondrement.
Il faut dire que le siège du commissariat central est abrité par un bâtiment construit à l'époque coloniale, alors que les eaux ayant servi à maîtriser les flammes se sont installées au niveau de la fondation. Pendant ce temps, les policiers qui y travaillent viennent tous les jours, mais la plupart se cramponnent simplement les doigts en attendant de bien meilleurs jours...
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