Publié le 17 May 2024 - 09:50

Restic

 

Après la nomination d’un nouveau directeur général à l’ADIE, le Restic a publié un communiqué de presse pour saluer le ‘’choix judicieux et adéquat’’ du chef de l’État. Car, souligne le Restic, ‘’le nouveau manager à une expérience transversale dans l’informatique et les secteurs transformateurs digitaux et numériques. C’est une bonne nomination et le Restic invite Isidore Diouf à faire un audit approfondi et global de la gestion peu orthodoxe de son prédécesseur, surtout pour les réseaux donnés sur fibres optiques ou le Sénégal s’est endetté de 60 milliards auprès de la Chine et de la Corée’’. L’organisation est d’avis, en outre, que ‘’la digitalisation, la dématérialisation, le stockage des données de l'État, la souveraineté numérique, le dividende numérique, digital et le parachèvement de l’e-administration et la cybersécurité  sont des chantiers vastes sur lesquels notre pays n’a fait aucun progrès depuis presque dix ans.

Senum SA doit aussi  être un incubateur d’innovations au profit de l’État pour un delivery en phase avec un État moderne. Il est essentiel pour Senum SA  de mutualiser les ressources de l'État et celles des opérateurs de l’écosystème’’. Dans ce sens, le Restic a invité ‘’le nouveau directeur général à accélérer la cadence afin de rattraper le temps perdu par son prédécesseur peu expert dans les métiers du numérique et du digital. Senum SA doit inscrire l’agenda public dans le big data et l’intelligence artificielle. C’est le challenge du nouveau directeur général. Le Restic invite tous les acteurs du digital et du numérique à accompagner le management de M. Diouf afin de faciliter la mutation de Senum SA en un opérateur public performant au profit de l’État, de l’Administration et des usagers. Le Restic rappelle au Premier ministre le cas de Koppar SA dont le fondateur a été persécuté et emprisonné, et l’entreprise poussée à la faillite’’.

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