Le «Soleil» s’assombrit!
Le Soleil s’est assombri, un héros s’en est allé,
Mbaye Dramé, ta plume brillait comme l’aurore,
Journaliste émérite, au desk société, du quotidien national le Soleil.
Ta voix, un chant vibrant, un écho qui dévore.
Ta plume, au Soleil, s'est tue,
Un silence lourd, qui nous laisse en deuil.
Grand Mbaye Dramé, journaliste de valeur,
Ton absence profonde, une blessure au cœur.
Dans les ruelles du Sénégal, tu scrutais les vies,
Les récits des hommes, les histoires cachées de la société sénégalaise,
Avec une connaissance, un savoir infini,
Explorant les âmes et les vérités troublées.
Tes reportages, sur le Sénégal, vibrant et vrai,
Témoignages précis, d'une société en mouvement.
Ta plume élégante, racontait chaque jour,
Les joies, les peines, les combats, à leur hauteur.
Saa Kounguel, roi du Bambouck,
Ton amour pour ta terre était une lumière,
Chaque mot, chaque page, un baume, une claque,
Rappelant à tous la beauté de cette terre.
Fier de tes origines, tu étais un irréductible,
Avec un sourire facile, un cœur en bandoulière,
Ta générosité, un océan, une cible,
Sympathique compagnon, une étoile, une prière.
Ce mardi, le Sénégal a perdu un illustre soldat,
Tu as rejoint Kounguel, en ton sol bien-aimé,
Repose en paix, cher grand frère, sous ce ciel là-bas,
Que la terre de Kounguel te soit douce et légère.
Sa Kounguel, ton héritage perdurera,
Dans les cœurs passionnés, dans la plume des vivants,
Ton esprit continuera d’exister ici-bas,
Le roi du Bambouck, ton nom brillera tout le temps.
Tes conseils avisés, précieux héritage,
Une sagesse rare, un guide sur le passage.
Tu éclairais les faits, avec impartialité,
Un défenseur des causes, avec humanité.
Amine, que ton âme trouve sérénité,
Dans les échos des mots, dans les rires partagés,
Nous garderons en nous, ta mémoire sacrée,
Pour chaque fait de société, pour chaque vérité.
Grand Mbaye, ton souvenir ne s'effacera pas,
Tes mots résonneront, malgré le temps qui passe.
Le Sénégal pleure, un journaliste si cher,
Ta belle plume, repose en paix, à jamais, ici-bas.
Ta plume, tes reportages précieux nous manqueront a jamais.
Ton frère Ousmane Gandhy Ba